15 règles d’or pour maîtriser la typographie
Dans la construction d’un visuel, le texte est bien souvent indissociable de l’image, même s’il est présent en faible...
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Dans la construction d’un visuel, le texte est bien souvent indissociable de l’image, même s’il est présent en faible quantité. Pour des...
Dans la construction d’un visuel, le texte est bien souvent indissociable de l’image, même s’il est présent en faible quantité.
Pour des raisons d’équilibre, autant que de puissance de l’image, vous devez consacrer autant de temps à la typographie de ces quelques mots qu’au recadrage et autres effets de filtres retenus.
C’est pourquoi nous vous présentons aujourd’hui 15 règles de typographie à connaître absolument.
Chaque police de caractère transmet un message particulier. Une typographie manuscrite n’aura pas le même effet qu’un font plus massif, des mots qui semblent dactylographiés avec une vieille machine à écrire laisseront une impression différente que s’ils paraissent tracés à la craie…
Étudiez les polices, pas seulement pour leur apparence, mais pour ce qu’elles dégagent. Et retenez celles qui correspondront au public et au type de sensation que vous souhaitez communiquer.
La diversité, c’est une très bonne chose. Mais pas pour la conception d’un visuel. Une police de caractère pour le titre, une pour les sous-titres et une troisième pour le contenu, c’est le maximum que vous pouvez vous autoriser.
Ne vous éparpillez pas trop : les caractères retenus doivent aussi s’associer entre eux.
Méfiez-vous de l’effet arc-en-ciel : trop de couleurs tuent la couleur. Retenez les couleurs qui ont été sélectionnées pour le visuel et reprenez-les pour les textes.
Ou intégrez dès le départ dans la conception de votre projet la teinte qui sera appliquée aux lignes écrites en respectant toujours cette limite de deux à trois valeurs différentes, au maximum, pour un graphisme.
Savoir positionner un texte, c’est aussi guider la lecture. Or, dans notre culture, nous avons appris à lire de gauche à droite. Un texte aligné à gauche sera donc nettement plus facile à parcourir.
Respectez le même alignement pour toute la typographie d’un document, sauf à vouloir créer des blocs de texte indépendants les uns des autres.
Quelle que soit la mise en page, l’œil sera en premier attiré par les parties de texte plus grandes, ou d’une couleur différente. Jouez avec les tailles pour capter l’attention des lecteurs.
Il vous faudra sélectionner le mot le plus important, celui qui sera mis en avant. C’est lui qui donnera envie de lire les autres !
Le vide, sur un visuel, ce n’est pas le néant, c’est un cadre qui met en valeur ce qui est présenté. Laissez respirer votre texte, ne le collez pas sur les bords de l’image.
Les interlignes, les lignes blanches, sont aussi importants dans la composition de la partie rédigée que le contenu lui-même.
Pour trouver l’inspiration, il est bienvenu de regarder ce qui se fait autour de vous et d’en tirer des leçons.
Vous observerez par exemple sur Type Inspire de nombreux exemples de polices ou de mises en page typographiques.
Mais méfiez-vous des modes : elles peuvent passer très vite et certaines « tendances du jour » seront déjà obsolètes demain. Humez l’air du temps, mais ne cherchez pas absolument à le reproduire s’il ne convient pas à votre projet.
On ne s’invente pas typographe du jour au lendemain. Si vous ne connaissez pas des termes comme « sans serif », ligature ou lettrine, vous n’irez pas très loin dans ce domaine.
Étudiez les différents types de typographie, passez quelques jours à apprendre un mini-glossaire et à voir ce qui se crée de nouveau dans ce domaine ne pourra que vous être utile.
Que vous souhaitiez créer des typographies ou utiliser les existantes, d’ailleurs.
Toutes les sociétés ne communiquent pas de la même manière, ni ne s’adressent aux mêmes personnes. Une police manuscrite sera peut-être plus adaptée pour un public familial que pour les clients d’une banque d’affaires.
Vous pouvez tester plusieurs typographies pour vérifier l’impression qu’elles laissent mais vous gagnerez du temps en réservant les plus fantaisistes aux projets qui le sont aussi.
Associer des typographies est un art compliqué. Ce n’est pas pour rien que vous trouverez sur Internet de nombreuses listes de typographies à associer ensemble, y compris sous forme de jeu.
Dans tous les cas, vous constaterez que les polices de caractère présentées vont toujours par deux. Parce qu’au-delà, vous perdrez en lisibilité et en cohérence.
Limitez le nombre de typographies sur vos documents, même s’ils comportent plusieurs pages. Votre sobriété sera récompensée !
La typographie, ce n’est pas uniquement un choix de police. C’est aussi un écartement entre les lettres, un alignement, un espacement entre les lignes et même des hauteurs de caractères.
Vous n’êtes pas obligé de vous limiter aux données qui sont automatiquement calculées par vos logiciels de traitement de texte ou d’image. Vérifiez, de très près, que les chiffres choisis sont ceux qui mettent le plus en valeur vos mots.
Et n’oubliez surtout pas que les espaces blancs sont tout aussi parlants que les mots écrits.
Vous allez composer vos textes comme des images. Ce qui implique que vos mots soient alignés de manière précise, entre eux, mais aussi par rapport aux différents éléments visuels, comme les illustrations.
Des grilles vous aideront à vérifier cet alignement, si précieux pour que l’ensemble de votre projet apparaisse cohérent.
Vous allez diriger l’œil de ceux qui liront votre texte. Et les y aider avec des titres bien différenciés ou des mots mis en évidence.
Vous aurez un certain nombre d’atouts dans votre encrier, du caractère gras à celui dont vous augmenterez la taille. En passant également par la couleur.
Un texte n’est pas qu’un rectangle plat et sans relief. La typographie, c’est aussi de la mise en page.
Les règles, ce sont celles-ci mais aussi celles de la grammaire, de l’orthographe… Et celles spécifiquement liées au monde de la typographie.
Comme le fait de ne pas laisser en fin de phrase de veuves et d’orphelins, c’est-à-dire de lignes et de mots isolés à la fin d’un paragraphe. Plus quelques conseils qui améliorent la lisibilité, comme le fait de lier ensemble un déterminant et le mot qu’il caractérise (pas de « le » tout seul en fin de ligne).
Vous pouvez choisir votre typographie avec soin, composer une mise en page éblouissante… Mais si votre texte comporte des fautes d’orthographe ou de grammaire, tout votre travail sera irrémédiablement gâché.
Ne regardez pas uniquement l’effet général : relisez-vous pour que tout soit parfait dans les moindres détails.
Mieux encore : faites-vous relire (on est souvent aveugle à ses propres défauts, comme à ses propres erreurs).
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