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10 conseils pour investir à l’étranger

Que l’on souhaite préparer sa retraite au soleil en investissant dans l’immobilier d’un pays étranger, ou prendre des parts dans une société pour soutenir...

Publié par Thomas

Que l’on souhaite préparer sa retraite au soleil en investissant dans l’immobilier d’un pays étranger, ou prendre des parts dans une société pour soutenir l’économie locale, sortir des frontières françaises permet de diversifier son patrimoine.

Présente à toutes les étapes importantes de vos projets, notre plateforme de traduction sera à vos côtés pour traduire les documents clés de vos investissements.

Si placer une partie de votre patrimoine hors de France vous attire afin de le dynamiser, voici quelques conseils et astuces pour investir à l’étranger sereinement.

10 conseils pour investir à l’étranger

1. Choisir un projet et un pays

La règle vaut pour tout investissement et elle est encore plus importante à l’étranger : ne vous lancez pas tête baissée, prenez le temps de peser votre choix et de bien définir votre projet. Réfléchissez au type d’investissement que vous souhaitez faire : lequel vous correspond et répond au rendement que vous visez ?

Et dans quel pays investir ? Portugal, Espagne ou Grèce font partie des destinations européennes les plus attractives dans l’immobilier. De nouveaux marchés attirent aussi, comme la Bulgarie et la Croatie. En dehors des frontières européennes, acheter un riad à Marrakech ou un appartement de location longue durée aux États-Unis sont également des options intéressantes.

2. Connaître ses capacités d’investissement

Se renseigner sur ses capacités de financement est une étape essentielle avant tout investissement. C’est le cadre qui va ensuite permettre au projet d’exister.

Aurez-vous besoin d’un crédit ? Il est possible d’en contracter en France pour investir en Europe, mais pour une destination plus lointaine il peut être nécessaire d’emprunter sur place. En cas de doute, un courtier sera de bon conseil.

3. Chiffrer l’ensemble des frais annexes

Nous vous conseillons de lister l’ensemble des frais annexes. Estimez le coût des prestataires dont vous aurez besoin. Peut-être prendrez-vous un courtier, un notaire, ou bien un avocat, qui est obligatoire dans certains pays comme la Grèce ? Ferez-vous appel à un gestionnaire, à un traducteur ? Aurez-vous besoin de souvent vous rendre sur place ? Il faut aussi penser aux taxes locales, aux assurances, et prévoir une marge pour la variation du taux de change.

4. Évaluer le rendement

Pour bien définir la viabilité d’un projet et que sa rentabilité soit réelle, il convient de prendre en compte tous les paramètres. Il faut donc aussi estimer les rentrées futures, par exemple le rendement locatif d’un investissement immobilier.

5. Connaître le pays et sa culture

Disposer d’un patrimoine à l’étranger, c’est exotique, mais ne sous-estimez pas la connaissance des coutumes locales. Si vous investissez dans une société ou créez une entreprise, son succès passera par votre respect des manières de faire du pays.

Renseignez-vous aussi sur son climat politique et sa stabilité sociale. Attention, le degré de risques de la zone choisie peut peser dans l’acceptation d’un crédit par une banque française.

6. Se renseigner sur les spécificités locales

Chaque pays a ses propres règles et lois, or celles-ci impacteront la tournure que prendra votre projet. Il peut arriver qu’un étranger ne puisse acheter un bien immobilier ou détenir des parts dans une société, par exemple.

Et quelle est la réglementation locale en cas de loyers impayés ? Quels sont les droits des propriétaires ? Ce sont autant d’informations qu’il vous faudra connaître. Renseignez-vous aussi sur les démarches et formalités administratives, ou encore les éventuels frais à acquitter.

7. Ne pas négliger la compréhension de la langue

Il ne faut surtout pas sous-estimer la compréhension des contrats et documents juridiques dans vos transactions : c’est la première règle à suivre pour se lancer dans un projet à l’étranger !

Cela ne signifie pas que l’on ne peut investir que dans un pays dont on connaît la langue, mais n’hésitez pas à vous faire assister. Appuyez-vous sur des traducteurs fiables pour être certain de ne laisser aucune zone d’ombre.

8. Se faire accompagner sur place

Faites-vous accompagner sur place également. Vous pouvez par exemple prendre une société de gestion pour vos biens immobiliers et vous appuyer sur ses connaissances du marché local. En déléguant la gestion quotidienne, vous évitez des soucis et économisez du temps et l’argent nécessaire aux allers-retours.

9. Respecter la réglementation fiscale

Un investissement à l’étranger peut être fiscalement intéressant si le pays a conclu avec la France une convention de non double imposition : vos revenus fonciers ne seront pas redevables au fisc français. C’est le cas par exemple de l’Île Maurice, ce qui en fait une destination favorable pour les investisseurs français. Avec les autres pays, vous serez en revanche doublement taxé pour le foncier.

Le reste des revenus doit lui aussi être déclaré en France. Et les biens doivent figurer dans votre déclaration de patrimoine, sans quoi vous n’échapperez pas au contrôle fiscal.

10. Éviter les pièges

On ne le répétera jamais assez : faites-vous conseiller à chaque étape de votre projet, c’est comme ça que vous éviterez les soucis. Il est fortement recommandé de s’entourer de spécialistes du pays ciblé, qu’il s’agisse d’agences immobilières, de gestionnaires locatifs ou de traducteurs professionnels. Une traduction précise et fiable est un élément essentiel pour réaliser votre projet en toute confiance.

Quels investissements faire à l’étranger  ?

Acheter un bien immobilier à l’étranger

C’est le placement le plus classique : l’achat d’une maison ou d’un appartement. Les Français aiment l’investissement dans la pierre, et c’est bien compréhensible : moins risqué que la bourse, l’immobilier apporte en effet plus de garanties et de sécurité.

Il existe plusieurs façons d’investir dans l’immobilier :
– Acheter une résidence secondaire pour préparer sa retraite,
– Faire un investissement locatif pour percevoir des loyers et obtenir un bon cash-flow,
– Réaliser un investissement durable afin d’obtenir une plus-value lors de la revente.

Investir dans une SCPI internationale

Peut-être connaissez-vous les SCPI en France ? Ces Sociétés civiles de placement immobilier existent aussi à l’international. C’est un investissement réputé sûr, car stable et avec un rendement régulier.

La gestion est souple, l’acheteur se tient à l’écart des démarches et ne perçoit que le loyer. Il s’agit généralement d’une bonne option pour bénéficier d’une optimisation favorable.

Investir dans une entreprise étrangère

Et si vous preniez des parts dans une entreprise étrangère ? C’est à la fois une manière de diversifier votre patrimoine et de soutenir activement une activité, voire une région étrangère ayant besoin de capitaux neufs. Cela peut passer par une société en participation ou une société par actions.

Créer une société à l’étranger

On y pense peu, mais se lancer dans la création d’entreprise peut aussi être une manière d’investir en dehors de nos frontières. Si vous avez une idée d’activité qui s’épanouirait bien à l’étranger, lancez-vous ! Cela pourrait vous ouvrir de nouveaux horizons en vous renseignant au préalable sur le marché local, et vous pourrez faire traduire vos documents sur notre plateforme de traduction.

Placer de l’épargne à l’étranger

L’épargne bancaire figure dans le patrimoine qu’il est autorisé de détenir à l’étranger. La fiscalité n’est pas intéressante puisque les impôts doivent quoi qu’il arrive être payés en France : oubliez donc l’attrait des paradis fiscaux !

Par contre, si vous disposez d’un patrimoine dans un pays étranger et souhaitez l’appuyer par un compte bancaire avec les intérêts locaux, c’est tout à fait possible.

Les avantages et inconvénients d’un investissement à l’étranger

Les avantages

  • Investir à l’étranger, c’est élargir ses horizons ! Saisir de nouvelles opportunités hors des frontières dans un secteur potentiellement bouché, comme l’immobilier peut l’être dans certaines régions françaises.
  • C’est aussi toucher des marchés en pleine croissance, avec des tarifs attractifs par rapport à la France. Avec des prix d’entrée plus bas et un rendement plus élevé, la plus-value réalisée sur la durée peut être intéressante.
  • Ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier ! La diversification d’un patrimoine permet une optimisation segmentée et une réduction des risques.
  • Cela peut aider le pays dans lequel on investit et contribuer au développement économique local. Investir ne sert pas que ses propres intérêts !

Les inconvénients

  • Il faut faire l’effort de bien se renseigner sur les spécificités locales afin d’éviter les mauvaises surprises.
  • On ne connaît pas nécessairement le marché étranger. Est-il suffisamment stable pour que votre investissement soit sûr ?
  • On peut avoir plus de difficultés à suivre ses affaires à l’étranger et il est coûteux de se rendre régulièrement sur place. D’où l’importance d’avoir un gestionnaire local.
  • La barrière linguistique peut être problématique. Une solution pour éviter les risques : se faire accompagner dans la traduction des documents.

Notre astuce pour investir à l’étranger

Tout investissement comporte une part de risque et celui-ci n’est pas nécessairement plus important à l’étranger. Il convient toutefois de bien préparer son projet afin de ne pas se lancer à l’aveugle sur un marché que l’on ne connaîtrait pas. Être accompagné est essentiel, tant avec des contacts sur place pour la gestion quotidienne qu’avec des traducteurs professionnels et fiables, auxquels vous pourrez faire appel à chaque besoin.

Traduc.com est une plateforme qui confie vos projets à des traducteurs natifs et connaisseurs des pays. Demandez un devis pour vos traductions et nous vous accompagnerons pour soutenir vos investissements à l’étranger.

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